Les modèles de la série XBR X850D de Sony ont suffisamment d’attraits pour se glisser parmi les très bons téléviseurs 4K de milieu de gamme pour l’année 2016 et ils devraient particulièrement plaire aux amateurs d’émissions de sports et de jeux vidéo.
Malgré certains points faibles – compréhensibles sur des appareils de cette catégorie de prix –, les X850D restent d’excellents téléviseurs. La technologie Triluminos (l’équivalent modèles SUHD de Samsung et des Super UHD de LG qui sont le double du prix de ces Sony) appuyée par le processeur X1 font un très bon travail et donnent des couleurs riches et vives, sans saturation, des tons subtils qui contribuent à former un ensemble tout à fait naturel. Le processeur X1 contribue également à donner une mise à l’échelle supérieure extrêmement efficace avec une source 1080p qui s’approche alors du 4K.
L’angle de visionnement a été amélioré et est très satisfaisant et le rafraîchissement d’image est excellent. Nous avons constaté que les mouvements rapides laissent très peu d’effets de traînée pendant que les images demeurent nettes et précises. Les modèles XBR850D sont donc un excellent choix pour les amateurs de sports et de jeux vidéo qui recherchent un bon téléviseur 4K compatible HDR sans que le prix soit trop élevé.
Étant donné que la dalle des modèles de la série X850D est éclairée en bordure et non par l’arrière, il n’y a pas d’atténuation locale (local dimming), ce qui fait que la profondeur des noirs en souffre. Avec un très faible éclairage ou dans l’obscurité, ces noirs vont paraître grisâtres. Mais si on choisit ce téléviseur pour aller dans une pièce avec une bonne lumière ambiante, un X850D va, comme on dit, « faire la job ».
Les Sony XBR X850D (disponibles en grandeurs de 55, 65, 75 et 85 pouces) ont une esthétique légèrement différente des modèles de l’an dernier, avec un boîtier plus délicat (l’écran est plus mince, à peine deux pouces dans sa moitié supérieure) et, surtout, une base plus massive et plus beaucoup solide.
C’est toujours le système d’exploitation et l’interface d’Android TV qui gère les fonctions Smart. Il livre la marchandise, mais il n’est pas aussi rapide que le WEB OS 3.0 de LG, par exemple. Plutôt que de présenter au bas de l’écran une simple barre d’applications, il affiche un menu complet qui est parfois un peu déroutant. L’Android TV a quand même de belles qualités. Il reste fonctionnel avec plusieurs applications axées sur le cinéma et les jeux et est compatible avec toutes les applications venant d’un appareil portable Android.
La télécommande a perdu son pavé tactile qui a été remplacé par la commande vocale, pas aussi efficace qu’on aimerait qu’elle soit.
Comme chez plusieurs fabricants, la 3D a été mise de côté. Il est de plus en plus évident que cette technologie n’a pas suffisamment levé au goût de l’industrie et que l’engouement pour l’Ultra HD est en train de signer son arrêt de mort. Dommage, car certains films valent la peine d’être regardés en 3D.
Malgré certains points faibles – compréhensibles sur des appareils de cette catégorie de prix –, les X850D restent d’excellents téléviseurs. La technologie Triluminos (l’équivalent modèles SUHD de Samsung et des Super UHD de LG qui sont le double du prix de ces Sony) appuyée par le processeur X1 font un très bon travail et donnent des couleurs riches et vives, sans saturation, des tons subtils qui contribuent à former un ensemble tout à fait naturel. Le processeur X1 contribue également à donner une mise à l’échelle supérieure extrêmement efficace avec une source 1080p qui s’approche alors du 4K.
L’angle de visionnement a été amélioré et est très satisfaisant et le rafraîchissement d’image est excellent. Nous avons constaté que les mouvements rapides laissent très peu d’effets de traînée pendant que les images demeurent nettes et précises. Les modèles XBR850D sont donc un excellent choix pour les amateurs de sports et de jeux vidéo qui recherchent un bon téléviseur 4K compatible HDR sans que le prix soit trop élevé.
Étant donné que la dalle des modèles de la série X850D est éclairée en bordure et non par l’arrière, il n’y a pas d’atténuation locale (local dimming), ce qui fait que la profondeur des noirs en souffre. Avec un très faible éclairage ou dans l’obscurité, ces noirs vont paraître grisâtres. Mais si on choisit ce téléviseur pour aller dans une pièce avec une bonne lumière ambiante, un X850D va, comme on dit, « faire la job ».
Les Sony XBR X850D (disponibles en grandeurs de 55, 65, 75 et 85 pouces) ont une esthétique légèrement différente des modèles de l’an dernier, avec un boîtier plus délicat (l’écran est plus mince, à peine deux pouces dans sa moitié supérieure) et, surtout, une base plus massive et plus beaucoup solide.
C’est toujours le système d’exploitation et l’interface d’Android TV qui gère les fonctions Smart. Il livre la marchandise, mais il n’est pas aussi rapide que le WEB OS 3.0 de LG, par exemple. Plutôt que de présenter au bas de l’écran une simple barre d’applications, il affiche un menu complet qui est parfois un peu déroutant. L’Android TV a quand même de belles qualités. Il reste fonctionnel avec plusieurs applications axées sur le cinéma et les jeux et est compatible avec toutes les applications venant d’un appareil portable Android.
La télécommande a perdu son pavé tactile qui a été remplacé par la commande vocale, pas aussi efficace qu’on aimerait qu’elle soit.
Comme chez plusieurs fabricants, la 3D a été mise de côté. Il est de plus en plus évident que cette technologie n’a pas suffisamment levé au goût de l’industrie et que l’engouement pour l’Ultra HD est en train de signer son arrêt de mort. Dommage, car certains films valent la peine d’être regardés en 3D.
